C’est avec une neutralité bienveillante que le cabinet intervient.
Chaque entreprise ou organisation est différente. Les contextes de travail et les individus qui en composent les collectifs sont aussi singuliers. Mon objectif est d’adapter toutes mes interventions au plus près de vos besoins.
Il s’agit ainsi de définir ensemble la ou les demande(s) et les modalités de mon intervention.
« Il n’y a pas de « bien être » sans « bien faire ». C’est-à-dire qu’il est nécessaire d’aller au delà de la qualité de vie au travail pour éviter de désindexer la santé au travail de la performance.
Ne jamais tirer aucune fierté de ce que l’on fait, ne pas pouvoir se reconnaître dans « quelque chose », pousse à une quête éperdue de reconnaissance par autrui.
Dans trop de situations de travail actuelles, une suractivité factice finit par imposer une passivité psychologique dangereuse pour la santé. Yves CLOT
« Je me porte bien dans la mesure où je me sens capable de porter la responsabilité des mes actes ».
Georges Canghuilem
L’intervention du cabinet Dyadesens en entreprise c’est :
Empêcher de penser le travail augmente la défiance à l’égard des organisations et de leurs dirigeants. Le dialogue authentique, au-delà de la simple opposition d’avis déjà établis consiste à élaborer collectivement un nouveau point de vue, de dégager des perspectives nouvelles auxquelles ont avait pas pensé.
La finalité préventive de ces interventions passe par la compréhension des phénomènes individuels et collectifs au travail. Elle nécessite donc de dédier des temps pour penser le travail, d’ouvrir un espace de réflexivité.
Il s’agit également d’accepter l’incertitude et la complexité que peuvent engager ce type de démarche. De ces espaces dédiés au travail vivant, il s’agit dégager un potentiel créatif, vecteur de sens et de qualité dans l’activité.
Le Cabinet s’appuie sur disciplines et es méthodes d’intervention plurielles en sciences humaines.
Les interventions visent l’amélioration et/ou la transformation des situations de travail. Elles s’inscrivent dans une dynamique partagée par l’ensemble de l’organisation.
Dans cette intention transformative, il est essentiel de soutenir les échanges et le partage du travail réalisé par chaque acteurs de l’entreprise.
Il s’agit de favoriser la possibilité de reprendre la main sur le réel du travail. Sens et efficience, la quête de la qualité du travail est au cœur du développement du pouvoir d’agir. C’est ce qui permet de se sentir actif quand on agit.
Ces temps d’analyse et de dialogue sont des moyens de préserver la santé et de renforcer les capacités d’action.
Bénéfices :
L’analyse des pratiques professionnelles s’adresse à tout le monde.
Proche du co-développement, cette méthode s’appuie sur une approche centrée sur le travail réel du quotidien des professionnels.
Les groupes sont composés de pairs, exerçant, de préférence, la même activité ou le même métier. Il n’y a pas de lien hiérarchique entre eux. Les séances d’analyse des pratiques sont un lieu d’émergence des savoir-faire tacites et de leur transmission. Pour ces temps dédiés, je vous propose de mettre en œuvre des conditions sécurisantes autour de trois éléments indispensables :
Ces trois éléments sont essentiels à l’installation progressive d’une alliance de travail, une analyse créatrice et source de développement. Les participant.(e)s font l’expérience d’un collectif offrant des ressources psychosociales pour chacun(e).
A chaque séance, nous partons d’une situation issue de l’activité professionnelle d’un membre du groupe. Il peut s’agir d’une situation où l’activité « a été » ou « est » source d’irritation, d’incertitude ou de perplexité mais aussi de satisfaction ayant suscité de l’étonnement. Ces situations sont alors exposées et finement analysées par le narrateur et le groupe, au plus près du réel du travail, selon un processus centrée sur la personne.
Objectifs et bénéfices :
En entreprise et dans toute organisation, nous sommes avant tout des femmes et des hommes enclins à s’investir vers une direction commune. Pourtant, pris par le quotidien de travail, le temps qui défile, les réalités induites par les fonctions de chacun, nous pouvons tous individuellement ou collectivement perdre de vue le sens de ce que l’on fait, de ce pourquoi nous sommes là et ce vers quoi nous allons.
Tout a à chacun, nous pouvons être impactés par cet étiolement du sens au travail. L’accélération, l’adaptation continue, l’optimisation économique, l’intensification de l’activité peuvent finir par nous faire perdre de vue le sens de notre travail et parfois même, de notre existence.
Cette perte de vue, n’est pas sans conséquences pour la santé individuelle et des collectifs. Des massages, un baby-foot ou toute amélioration des conditions de travail sont appréciables et peuvent être bénéfiques. Toutefois, cela ne peut pas suffire à satisfaire le besoin vital de tout individu de trouver du sens à ce qu’il fait. Sens dans lequel le travail occupe une place fondamentale.
Accorder une attention à cette question du sens dans l’activité nécessite d’y consacrer un peu de temps et d’accepter une prise de risque «balisée». Élaborer et déposer une parole peuvent parfois suffire. Le passage par la confrontation de différents regards et points de vue peut se concevoir comme l’acceptation d’un « conflit sain ». Au travers de controverses et dialogues, c’est la compréhension et les représentations singulières ou partagées qui constituent la richesse d’un collectif vivant.
Sur rendez-vous
Au Cabinet : 21 Rue du Danemark, 56400 Auray
Présentiel ou distanciel
Entreprises
Morbihan et départements limitrophes.